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"No future" scandaient les punks il y a maintenant 30 ans,, mais qu’en est-il aujourd’hui ? Même si les jeunes semblent avoir oublié les crêtes vertes et les Doc Marteens cloutées, ils restent tout du moins désabusés par le pessimisme ambiant que dégage notre société, et se tourne de plus en plus facilement vers la drogue et l’alcool.
En effet, l’évolution des mœurs entraine de nouveaux phénomènes de mode… au menu : les skins party, inspirées de la série du même nom, où le but est simple mais non sans risque : boire et consommer le plus de drogues possible. Des ados qui fument des pétards au réveil. D’autres qui, à la récré, vont boire dans le bois qui avoisine le bahut. Le plus triste, c’est que jamais ils ne semblent s’amuser.
A l’heure où l’impitoyable sélection commence au collège, que les plus diplômés connaîtront de toute façon le chômage et que les jeunes Espagnols crient leur indignation Puerta del Sol, en quoi peut-on croire lorsque l’on a 15 ans ?
Les pressions extérieures se font en effet grandissantes au sein des jeunes générations, en tête desquelles on retrouve la scolarité, qui draine une angoisse surdimensionnée. Face à cette pression scolaire et familiale, les ados ressentent le besoin de s’évader. Mais ils ne le font pas au travers d’actions, de sorties et de projets, mais en s’oubliant, en s’anesthésiant, à travers la prise excessive d'alcool.
Les jeunes d’aujourd’hui sont bien différents de leurs ainés qui ne connaissent des paradis artificiels que la version baudelairienne à apprendre pour le bac de français.
En effet, l’évolution des mœurs entraine de nouveaux phénomènes de mode… au menu : les skins party, inspirées de la série du même nom, où le but est simple mais non sans risque : boire et consommer le plus de drogues possible. Des ados qui fument des pétards au réveil. D’autres qui, à la récré, vont boire dans le bois qui avoisine le bahut. Le plus triste, c’est que jamais ils ne semblent s’amuser.
A l’heure où l’impitoyable sélection commence au collège, que les plus diplômés connaîtront de toute façon le chômage et que les jeunes Espagnols crient leur indignation Puerta del Sol, en quoi peut-on croire lorsque l’on a 15 ans ?
Les pressions extérieures se font en effet grandissantes au sein des jeunes générations, en tête desquelles on retrouve la scolarité, qui draine une angoisse surdimensionnée. Face à cette pression scolaire et familiale, les ados ressentent le besoin de s’évader. Mais ils ne le font pas au travers d’actions, de sorties et de projets, mais en s’oubliant, en s’anesthésiant, à travers la prise excessive d'alcool.
Les jeunes d’aujourd’hui sont bien différents de leurs ainés qui ne connaissent des paradis artificiels que la version baudelairienne à apprendre pour le bac de français.
Le problème c'est qu'il n'y avait pas l'emprise des médias, on était moins moutonniers, on ne se préoccupait pas de l'opinion du copain ou du voisin, la mode et les objet de marque, on s'en fichait, et surtout on avait tellement de choses à faire qu'on ne pensait pas à nos ennuis, tout aussi nombreux qu'aujourd'hui. Mais on aimait apprendre et la priorité était de réussir ses études et d'être libre de sa vie.